Chloé Seguret

En ajoutant une forme par-ci, un peu de couleur par-là, Tineke Meirink donne à voir l’invisible, la petite touche de poésie qui se cache dans le quotidien.

Petit format, angles arrondis, papier épais et couverture cartonnée, ces deux albums (avec dans la ville) sont de beaux objets.

On aussi peut regarder ces albums avec des tout petits, qui s’amusent de voir les objets se transformer. Et avec les plus grands, c’est  une véritable éducation du regard, ils se prennent au jeu et se mettent à chercher, eux aussi, les formes évocatrices autour d’eux.